Tous les mois, la grande majorité des femmes partout dans le monde ont des SPM (Syndrome Pré-Menstruel) c’est à dire des symptômes qui annoncent l’arrivée des règles. Ces symptômes sont inégaux selon les personnes. Cela peut aller de pratiquement rien genre à peine plus émotive que d’habitude, à par exemple de grosses douleurs type contractions violentes. (On n’hésite pas à consulter un médecin en cas de doute sur le niveau de douleur ou de symptômes). Mais il est possible de soulager le SPM assez facilement.

Afin de mieux passer cette période voici quelques conseils, une sorte de routine en période de SPM :

Tout d’abord cette période demande beaucoup d’énergie à notre corps, il bosse. C’est pourquoi il est normal de se sentir fatiguée, irritable, sensible…
Dans notre société on n’est pas spécialement habituée à ralentir mais les recommandations ci-dessous testées par beaucoup d’entre nous sont bien la preuve qu’il faut savoir parfois se poser et écouter notre corps.

Routine naturelle pour soulager le SPM = l’objectif te faire du bien

• Boire une boisson chaude qui te fait du bien : Chocolat chaud, thé, tisane, chaï latte,
• Regarder des films et séries archi réconfortantes pour cela il y a Netflix, Amazon prime et Youtube
• Des câlins du chat et/ou chien si tu as la chance d’en avoir un.
• Une bouillotte pour poser sur son ventre et garder le corps bien au chaud
• BD et livres
• Rester Couette que ce soit sur le canapé ou au lit : toujours dans l’esprit cocooning et pour rester bien au chaud.
• Prendre un bain si ça te fait du bien comme la bouillotte
• Des médicaments si besoin pour soulager les douleurs et sur les conseils d’un médecin.

Voici une liste non exhaustive n’hésitez pas à partager vos conseils en commentaires.

Et surtout penser à noter ses cycles pour comprendre que cela arrive toujours en SPM, et pour ne pas culpabiliser de passer des heures à ne rien faire. C’est nécessaire.

Essayer de se rappeler que ça va passer.

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Tout le monde n’a pas le thigh gap. L’écart entre les cuisses que beaucoup affichent fièrement sur instagram. On serait même une majorité à avoir plutôt le « mermaid thighs » une silhouette où les cuisses se touchent comme une queue de sirène.
C’est beau comme métaphore, non ? Mais malheureusement surtout quand il fait chaud, cela peut provoquer des frottements entre les cuisses qui deviennent douloureux.

Si vous lisez cet article, le sujet vous concerne et j’ai une bonne nouvelle il y a une vraie solution « magique » pour remédier aux brûlures et autres irritations du à des frottements.

Mais tout d’abord pourquoi nous avons mal exactement ?

Parce que lorsque nous transpirons, notre transpiration est salée et donc irritante.

Mais pourquoi nous avons mal que l’été ?
Parce qu’en hiver ou le reste de l’année il y a des chances que nous ne soyons pas en jupe ou robe sans collant. Alors que le tissu d’un pantalon et parfois du collant peuvent éviter ce frottement peau à peau additionné à la transpiration. Et bien sur on a moins chaud.

Doit-on forcément ne plus porter de jupe en été pour remédier aux frottements entre les cuisses ?

Bien sur que non. On a posé la question autour de nous et voici les solutions que les femmes nous ont partagées :

1. La crème Uriage

Avec cette crème magique isolante et réparatrice de la marque Uriage pour moins de 9€, vous créez une couche protectrice sur votre peau pour amortir les frottements.

Pour plus d’infos non négligeable sur cette crème, elle est :

• Hypoallergénique
• Non comédogène, Non occlusif
• Sans parfum et sans parabène

À appliquer le matin avant de s’habiller et en cas de grosse chaleur comme la canicule, on la garde avec soi dans son sac. Avec cette crème, vous allez rapidement remédier au problème du frottement.

2. La crème NOK Anti-frottement

Si vous avez déjà testé la crème Uriage et qu’elle n’aurait malheureusement pas marché, une lectrice nous a conseillé Akileïne Sports Crème NOK Anti-frottement pour moins de 7€.

3. L’huile d’amande douce ou le monoï

Pour une option plus naturelle et écologique, l’huile d’amande ou le monoï s’avère une bonne option contre les frottements entre les cuisses.

Certains n’aiment pas appliquer un corps gras sur leur peau encore moins quand elles ont chaud et ça peut se comprendre alors voici des solutions plus durables :

4. Le Cycliste en coton

Et là vous allez mieux comprendre les femmes qui mettent des leggings courts et cyclistes sous leurs robes en été. Car le cycliste ou boxer en coton est une vraie solution écologique et pour certaines ça peut aussi gainer votre bidou si vous le souhaitez.

Si le côté inesthétique du cycliste vous gêne, vous avez aussi l’option suivante :

5. Bandelettes pour les cuisses

Des bandelettes venues tout droit des Etats Unis (en fait c’est comme si on avait juste le haut d’un bas) même si certains médecins les déconseillent à cause de leur matière synthétique. Si vous en trouvez en coton c’est parfait mais du coup moins sexy.

Avec ces 4 solutions, on espère vous avoir aidé. Si vous avez d’autres conseils comme des remèdes naturels à proposer pour ce type de problème, n’hésitez pas à nous les suggérer en commentaire.

Vous pouvez aussi lire l’article de Slate complet sur le sujet.

Dans le même registre qui peut aussi vous inspirer, notre astuce venue tout droit des US pour ne plus avoir la boutonnière de nos chemises qui braillent.

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Elodie nous racontait la pose de son premier stérilet à 36 ans alors qu’elle n’avait jamais eu d’enfant. 2 ans et demi après alors qu’elle pouvait le garder encore plusieurs mois elle a décidé de le retirer.
Voici son retour :

Quelles sont les raisons pour retirer le stérilet avant la date de fin de validité ?

La grande majorité des femmes qui retirent leur stérilet le font soit parce que la date de fin est arrivée ou qu’elle souhaite concevoir un enfant.
Personnellement rien de tout ça, j’ai mis du temps à me décider et puis plusieurs arguments m’ont convaincus :

• La douleur aiguë à chaque ovulation
  J’en avais marre de prendre des anti-inflammatoires depuis la première pause et ce chaque mois. Parfois, il m’arrivait pendant plusieurs minutes d’être obligée de m’allonger tellement c’était douloureux dans mon bas ventre.
  Avant le stérilet, je n’avais jamais ressenti cette douleur auparavant.
• La rupture de ma relation stable
  La principale origine de cette pause de stérilet était la relation suivie que j’avais depuis quelques mois avec bien sûr un non désir de grossesse mais comme toutes les bonnes choses ont une fin, l’histoire s’est terminée au bout d’un an.
  Donc tant qu’il n’y a pas de relation sérieuse, le préservatif est de mise alors il m’est beaucoup moins nécessaire d’avoir un stérilet.
• Une hyperthyroidie
  Puis il y a ma thyroïde qui régule entre autres mes hormones qui est complètement déréglée. Même si aucune correlation n’a été démontrée dans le doute ça ne peut que faire du bien de retirer ces hormones diffusées dans mon utérus.

Ma gynécologue n’a pas été trop insistante sur le pourquoi du comment je souhaitais retirer le stérilet. Je ne sais pour quelles raisons mais je culpabilisais beaucoup de l’enlever avant la fin.
Il faut dire qu’elle avait bien insisté sur le fait qu’on ne le posait pas pour le retirer deux mois après.

Que faire avant avant le retrait du stérilet ?

J’ai beaucoup stressé. Tellement que comme à la pause, j’ai pris un Spasfon en prévention.

Le retrait du stérilet est-il douloureux ?

Le retrait se fait très rapidement, on sent une petite pointe comme un petit pincement mais vraiment rien de comparable à la douleur ressenti à la pose.
Un peu de saignement au moment du retrait puis légèrement les jours suivants.

Les effets après le retrait du stérilet Jaydess

Mes vraies règles sont arrivés 3 semaines plus tard. Cela faisait 2 ans et demi que je n’avais pas eu mes règles (seulement de toutes petites traces comme un dernier jour de règles) et curieusement ça m’a fait plaisir de les retrouver.

Je ne sais pas si c’est psychosomatique mais j’ai senti mon corps plus sensible, plus libre avec une libido complètement réveillée.

Cela fait à peine un mois que je l’ai retiré, j’attends mes prochains examens pour voir si cela a eu un effet ou non sur mon hyperthyroïdie.

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Parlons de ce sujet dont on ne parle pas assez. Certaines d’entre nous, depuis assez jeune ou l’âge avançant se retrouvent avec des apparitions ponctuelles, d’une nuit à l’autre de gros poil dru sous, sur, autour du menton.
Pas de panique, personne ne vous en a parlé et pourtant cela arrive à beaucoup d’entre nous.

Pourquoi certaines femmes ont des poils sous le menton qui poussent ?

Il semblerait tout d’abord que les femmes brunes soient plus sujettes au poil sous le menton (et ailleurs).
Ensuite plusieurs causes sont identifiées qui sont valables chez toutes les femmes. Que vous soyez blonde, rousse ou brune, la cause serait principalement dû aux hormones.

Des changements hormonaux peuvent entraîner la pousse des poils (prise de contraception, grossesse…). 

La présence aussi d’hormone masculine déclenche une forte pilosité.

Lors de la ménopause, certaines femmes subissent un véritable dérèglement hormonal qui peut augmenter la venue de ces poils disgracieux. On comprend mieux pourquoi certaines mamies ont littéralement de la barbe bien drue au menton.

Mais comment remédier au poil sur le menton :

Pour cela, il faudra vous armer de la meilleure pince à épiler qui soit

Acheter un kit de pinces à épiler pro

Personnellement, j’en ai toujours une dans mon sac à main au cas où je sente un poil subitement en pleine journée que je n’avais pas vu mal réveillée le matin entre autre. Cela peut tellement m’agacer !

Mais aussi dans l’idéal, il est utile d’investir dans un miroir grossissant

Suffit pas d’être bien armé, il va falloir savoir viser. Et pour cela rien de mieux que le miroir grossissant pour bien trouver les poils mal placés.
À chaque fois que j’en ai un dans un hôtel, je pourrais y passer des heures à scruter mon visage du moindre poil mal venu. Un investissement pour l’avenir car il n’est pas prévu qu’avec l’âge notre vue s’améliore.

Acheter un miroir grossissant

Comme toujours il est évident qu’on bannit le rasoir, pour éviter de rendre le poil encore plus dru mais surtout vu que vous n’avez pas arraché à la racine, il  repoussera de plus belle.

Pour continuer dans le sujet : Comment soigner un poil incarné ?

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à écouter l’épisode avec Remi du podcast Paroles D’hommes qui parle de l’endométriose de sa femme

2. C’est quoi ta définition de l’endométriose ?

Mais pour la résumer simplement, l’endométriose c’est la présence de lésions dans l’utérus qui fait que l’endomètre (la muqueuse le long des parois de l’utérus qui fait le « sang » qu’on perd pendant les règles chaque mois) sort en partie chaque mois de l’utérus pour aller se coller ailleurs et former des problèmes divers par accumulation.

5. Quels sont les conséquences sur ton avenir de femme ? Le suivi est réalisé comment ?

Beaucoup de femmes découvrent leur maladie quand elles essayent de tomber enceinte, car l’endométriose impacte très fortement la fertilité et il est souvent difficile d’avoir un enfant quand on est malade. Dans mon cas, c’est le mystère, mon utérus et mes ovaires ont l’air fonctionnels et ne sont pas touchés par l’endomètre qui s’agglutine, donc sur le papier je peux avoir des enfants, mais je découvrirai ça le jour où je tenterai… Question suivi, je fais un rendez-vous annuel avec ma gynécologue qui me reconduit mon traitement ou en changera au besoin. Je vais bientôt repasser une IRM pelvienne également pour voir si la maladie a évoluée. Et sinon, à tout moment je peux retourner voir la gynécologue si quelque chose ne va pas. Mon médecin traitant m’aide elle à traiter les symptômes de mes problèmes digestifs car l’endométriose provoque chez moi les syndromes de l’intestin irritable, donc je me soigne en conséquence.

Au quotidien, maintenant que je n’ai plus de règles, cela va beaucoup mieux. Mais il était difficile d’aller travailler au début quand on a envie de vomir ou d’aller aux toilettes souvent… C’est une maladie invisible donc difficile à expliquer, surtout à son patron à qui on a envie de parler ni de son utérus, ni de son transit. D’autant plus que ça touche à l’intime. Mais l’endométriose fatigue surtout énormément. Il y a des hauts et des bas, des périodes difficiles et d’autres excellentes. Les rapports intimes sont aussi plus difficiles. Ça ne me concerne pas vraiment, mais certaines femmes ont des douleurs très fortes durant les rapports sexuels aussi…

Puis d’un point de vue psychologique, même si on se plaint sans cesse de nos règles, le fait d’être placée sous ménopause artificielle avant mes 30 ans a été difficile a accepter au début. Mais je me suis dit que je peux arrêter ce traitement à tout moment si je veux tenter l’aventure le jour où je voudrai des enfants !

6. J’ai vu qu’il y avait des stades de la maladie ?

Oui, un peu comme dans toute maladie pas très cool. Sauf que cette maladie là ne tue pas. Elle peut te tuer socialement cela dit. Certaines femmes ne peuvent plus travailler à cause des douleurs. Elles restent chez elle et se retrouvent isolées. D’autres subissent des dizaines d’opérations plus ou moins lourdes pour se soigner. Certaines ont perdu leur compagnon qui ne comprenait pas ou était fatigué des symptômes. On perd aussi parfois des amis à force de refuser des sorties car on est fatiguées, de ne pas pouvoir aller au restaurant, etc…

Dans des pays qui n’ont pas notre accès aux soins, la maladie s’est étendue chez certaines à un stade incroyable, mais même chez nous, des patientes ont eu de l’endomètre jusque dans les poumons voire même plus haut et ces femmes vivent un enfer au quotidien. Et il a fallu attendre les alentours de 2017 pour qu’on en parle vraiment alors qu’on déclare que la maladie touche au moins 1 femme sur 7…

7. Pourquoi on propose à certaine de retirer l’utérus ? pour arrêter les douleurs et/ou quand il y a trop de lésions ?

Je ne suis pas médecin mais oui en général on retire l’utérus pour arrêter les douleurs insoutenables, les kystes à répétition, les fausses couches et saignements important, etc.
C’est plus radical qu’un traitement médicamenteux qu’on a en général essayé longtemps avant, mais c’est un choix difficile qui se fait toujours avec un professionnel de santé si il accepte bien de vouloir le faire (je précise car je lis beaucoup d’avis qui, comme à propos de l’avortement, pensent que les femmes font cette opération le coeur léger et facilement parce qu’elles l’ont décidé un matin…)
Encore une fois on soigne ici les symptômes, on ne guérit pas la maladie en faisant un acte aussi lourd. Mais ça peut empêcher que ça ne s’aggrave trop. Mais si d’autres organes sont touchés, il faut surtout nettoyer ces organes aussi, et réparer les lésions, sinon ça ne calmera pas toutes les douleurs…

J’ai lu un article de blog à ce sujet si ça peut éclairer un peu sur la maladie, l’hysterectomie ou sur le rapport à la féminité avec cette maladie.

8. Quels conseils donnerais-tu aux femmes qui souffrent d’endométriose ? Et à ceux qui en côtoient ? (petit ami, famille…)

Une amie a pu diagnostiquer sa maladie à un stade très jeune car nous en avons parlé ensemble et qu’elle a eu des doutes sur ses douleurs pendant les règles.

Et pour ceux qui côtoient des malades, comme pour toute maladie, soyez simplement compréhensifs.

Pas besoin d’avoir de la pitié pour nous non plus, nous ne sommes pas à l’article de la mort, mais ne prenez simplement pas peur de nous ni pour nous, ne vous éloignez pas alors qu’on a sûrement besoin de vous (car en plus l’endométriose augmente les risques de dépression).
Ne changez rien à vos habitudes mais ne le prenez pas personnellement et soyez simplement compréhensifs quand on vous dit non, quelque soit la proposition

Pour continuer sur le sujet à écouter le témoignage d’Anne Charlotte. Son parcours depuis 20 ans avec l’endométriose, les symptômes, le diagnostic, les traitements

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Sujet pas très glamour, mais tout comme les conseils pour soigner un menton irrité après des baisers endiablés, en voici un nouveau qui peut être autant utile aux hommes qu’aux femmes.

Alors qu’une malheureuse guerre du poil est entamée depuis des décennies, un des mauvais effets secondaires de l’épilation : Le poil incarné.

En effet, que vous soyez un homme qui se rase la barbe ou une femme qui s’épile le maillot vous avez peut-être déjà vu apparaitre de plus ou moins gros boutons se former sous la peau notamment après une épilation au rasoir ou à la cire.

Acheter un kit de cire chauffante

Normal, le poil à force d’être torturé, n’a plus envie ou la force de sortir et il pousse sous votre peau.

Le problème c’est que votre corps n’aime pas ça donc il essaie de vous le montrer à travers cette boule (de pu) et c’est là que ça devient un poil incarné.

Au début, si la boule représente un simple petit bouton, vous allez essayer de l’enlever et il est possible que vous y arriviez, sans que rarement ça termine en boucherie (croûte disgracieuse…).

Pour remédier à cela, un médecin a récemment sectionné au scalpel une boule de ce type sur la joue d’un ami, il est resté plusieurs jours avec un pansement.
Après quelques mois malgré une belle cicatrice, la boule est revenue quand même.

Pour éviter un tel massacre, on a cherché des solutions sur google et dans notre entourage mais rien de bien convainquant.

En toute logique, on a fini par aller à la pharmacie pour demander une solution efficace contre le poil incarné.

Et c’est là que notre super pharmacienne, nous a recommandé la pommade Auréocyde (une crème assainissante antibactérienne) à appliquer quelques jours sur la boule en question.
En moins d’un jour, la boule à considérablement diminué, pour finir par sécher et détruire le poil sans y toucher.
Pas de cicatrice, pas de pansement, pas d’infection juste un bouton qui sèche doucement.

Acheter Aureocyde

Afin d’éviter ce genre de souci assez disgracieux et parfois douloureux, la pharmacienne nous a aussi recommandé un soin Avène (pour hommes mais que l’on peut utiliser pour nous aussi). Le Dermo-K un soin de prévention du poil incarné à appliquer le soir.

Acheter Dermo K

Acheter du gommage

Et si vous en avez ras le bol des poils incarnés, vous pouvez faire comme beaucoup d’entre nous et arrêter de vous épiler

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