Vu à sa sortie, le film Les Intranquilles ne laisse pas indemne et il m’arrive quelques fois de repenser à cette histoire profondément touchante. Leïla Bekhti y ait comme dans la plupart de ses films incroyablement captivante.
Sortie en septembre 2021, il est sûrement passé inaperçu pour beaucoup d’entre vous alors nous allons essayé de vous donner envie de le voir.

Bande annonce Les Intranquilles

On comprend rapidement l’amour flagrant qui unie ces deux parents. La famille qu’il forme. De mémoire la maladie qui se laisse découvrir progressivement au fil des scènes n’est jamais citée dans le film. 

On la reconnait et vit au quotidien à travers le prisme de l’entourage de Leila et les scènes de crise de Damien. 
Il permet de comprendre Comment ce type de maladie peut rapidement tout détruire autour d’elle et notamment faire craquer l’entourage. Leila aime son mari mais ne le reconnait plus du tout dans la maladie qui la met en danger, elle et son enfant.

Attention spoiler ne lisez pas plus loin si vous souhaitez voir le film

Doit-on aimer à tout prix l’autre ? Voici la question que pose ce film.

Etre tiraillé.e entre l’envie profonde de vouloir aider l’autre et la culpabilité énorme de le quitter pour ne pas sombre avec l’autre. 

Quelle est la maladie de Damien dans Les Intranquilles ?

Comme elle n’est jamais vraiment cité dans le film si on ne connaît pas cette maladie on peut se demander ce qui se passe avec Damien. Il est maniaco dépressif, c’est à dire qu’il souffre de bipolarité. Cela correspond à des phases basses celles où il est dépressif et des phases hautes quand il pète les plombs et devient fou.

Le médicament qu’essaie de lui faire prendre Leïla Bekhti est du Lithium qui permet de stabiliser ces phases et donc de les éviter.
Mais il a forcément des effets secondaires qui transforme le patient mais rendent la maladie plus supportable pour l’entourage et moins dangereuse pour le malade.

Le film est fort. On passe du rire, aux larmes comme la maladie.

Les Intranquilles est il inspiré d’une histoire vraie ?

Même si l’histoire est librement écrite par le réalisateur Joachim Lafosse. Le père de celui-ci photographe était maniaco-dépressif ce qui a permis de retranscrire très justement la maladie avec bien sûr le talent des acteurs. Damien Bonnard, l’acteur principal, a passé du temps à Saint Anne avec psychiatre au contact de malades ayant des troubles de bipolarité.

Dispo en DVD

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C’est une des questions les plus posées à Google sur le fait d’avoir 40 ans : Pourquoi c’est bien d’avoir 40 ans ?
Venant d’avoir 40 ans il y a quelques mois et connaissant beaucoup de personnes du même âge, nous allons tenter de donner ensemble des pistes de réponses et réflexions.
Voilà donc à peu près ce que ça fait d’avoir 40 ans en 2022 quand on est une femme et pourquoi c’est bien.

Se sentir jeune malgré son âge

C’était déjà le cas pour les 30 ans mais alors là les 40, on ne les a pas vu arriver. C’était à la fois hyper rempli avec ou sans enfant et c’est passé à la vitesse de l’éclair.

À 40 ans, on lâche l’affaire sur les à priori car même si sur le papier on a effectivement 40 ans en fait on a l’impression d’en avoir toujours 27. On vieillit de mieux en mieux (ou alors on considère de moins en moins qu’une femme est vieille à 40 ans) et on est heureusement de moins en moins jugées sur notre façon de vivre.

À nous de continuer de changer les mentalités sur la quarantaine en montrant que oui à 40 ans, on peut avoir une vie géniale et épanouissante ! Ainsi les nouvelles générations pourront l’appréhender encore mieux que nous.

L’horloge biologique toujours dans un coin de la tête

Beaucoup d’articles féminins mentionnent qu’à la quarantaine, on en a fini avec les questions de la maternité. Et bien non, pas forcément ! C’est justement l’âge qui apporte le plus de questions pour certaines. Certes il y a celles qui ont eu des enfants et savent qu’elles n’en veulent plus. Et celles qui ont toujours su qu’elles n’en voudraient pas.

Puis il y a les nombreuses autres, celles qui en voudraient ou en voudraient d’autres mais savent que le temps de réflexion est limité.
Sans parler de cette satanée infertilité qui pointe le bout de son nez. Alors qu’on croyait en voyant toutes ces femmes célèbres enfantées après 40 ans que ce serait naturel et simple.

Même si pour info, à 40 ans vous avez en moyenne une chance sur deux de tomber enceinte naturellement. Ce qui n’est pas non plus. nulle.

On reviendra bientôt dans un plus long article sur les questionnements d’une grossesse après 40 ans.

Quoiqu’il en soit il est important pour notre bien, d’arrêter de se mettre une pression inutile. Apprenons parfois à lâcher prise sur les choses où nous n’avons pas vraiment de pouvoir.

L’aisance et la réussite professionnelle

Encore selon certains magazines féminins, on devrait avoir réglé le problème de la carrière ou alors faire enfin ce que l’on aime. Quelle injonction. On peut aussi avoir 40 ans et être restée la tête dans le guidon sans avoir pris le temps de remettre en question ce job qui ne nous rend pas très heureuse. Et alors ?

Ou encore avoir choisi la sécurité pour élever ses enfants sans trop avoir eu le temps de penser à soi. Et on peut le comprendre quand on sait que après 46 ans dans beaucoup de secteurs professionnels, trouver un travail devient compliqué surtout lorsqu’on est une femme.

Ne vous culpabilisez pas, il n’est jamais trop tard pour apprendre un nouveau métier (coach, pâtissière, infirmière, psy…)  et éventuellement devenir votre propre patronne.

Comment bien vivre ses 40 ans (sa quarantaine)

ou comment se sentir bien à 40 ans ? Voici deux autres questions parmi les plus posées à Google.

Un conseil qui marche pour chaque décennie et qui se confirme d’année en année. Faites vous une liste de choses que vous aimeriez faire : des plus basiques (manger dans le restaurant étoilé de vos rêves, apprendre une nouvelle activité comme la poterie…) jusqu’à la plus folle (déménager en Australie, ouvrir une ferme pédagogique, partir sur un voilier pendant un an) mais aussi juste vous lancez un défi et/ou succomber à une envie (sauter en parachute, faire un plan à 3…).

Promis, avec ça vous n’aurez pas l’impression de passer à côté de votre vie et ce peu importe l’âge que vous avez.

L’objectif : avoir le moins de regret possible et faire un maximum de choses que l’on ne pourra plus faire à 70 ans.

Mais surtout si ce n’est pas encore fait, lisez Mona Chollet et notamment Beauté Fatale et Sorcières. Des bibles qui permettent vraiment de relativiser et de s’accepter encore plus, telles que nous sommes.

Oui certaines d’entre nous ont plus ou moins des cheveux blancs, des cernes sous les yeux qui partent moins vites au réveil (avec ou sans enfant), des poils impromptus qui apparaissent sur le menton, un dos qui parfois nous rappelle qu’il nous a déjà bien accompagné mais c’est ça aussi vieillir.
Nous rappelez que nous ne sommes pas immortelles et profiter de chaque jour au maximum.

Félicitations d’avoir 40 ans, ça veut dire que vous avez évité le club des 27 et tout un tas d’autres choses qui auraient pu faire que vous n’auriez pas eu la chance d’arriver jusqu’à cet âge-là et de vivre encore plein de choses incroyables.

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Une nouvelle question spéciale confinement qui a été posée par plusieurs fois et plusieurs témoignages que l’on voit passer sur les réseaux sociaux sur le fait qu’ils n’ont jamais autant mangé tout au long de la journée.
Non il ne s’agit pas juste d’ennui même si il doit pas aider, il y a d’autres explications plus profonde
La psychanalyste Marie Marvier nous donne des pistes d’explications :

1. Est-ce normal que je grignote beaucoup pendant cette période confinement ?

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Appelée aussi Psychogénéalogie, il s’agit d’une piste sérieuse quand on ne comprend plus ce qui peut se rejouer à l’intérieur de nous que ce soit au niveau de nos relations amoureuses ou tout simplement de notre psychisme en général. Et si on essayait de creuser par là ?
A travers le livre de Juliette Allais psychanalyste transgénérationnelle « Amour et Sens de nos rencontres : De l’amour choisi à l’amour subi« , on comprend à travers des exemples comment inconsciemment ou parfois consciemment nos grands-parents, oncles et souvent parents sont à l’origine de nos petits et gros malheurs sans le savoir.

Pourquoi aimons-nous telle ou telle personne ? Qu’est-ce qui lui donne autant d’importance pour nous ? Pourquoi la faisons-nous entrer dans notre vie ?

Voici les questions auxquelles répond par des exemples l’auteur : « Le sentiment que nous éprouvons à son égard, quelles que soient sa nature et son intensité, est fait de nombreuses résonances avec notre propre nature et son intensité, est fait de nombreuses résonances avec notre propres univers intérieur, dont la plupart sont très profondément ancrés dans notre inconscient (l’hypnose peut vous aider à modifier cela).
Notre imaginaire s’empare de cette rencontre et de ce aperçoit comme potentialités futures. Il nous fait imperceptiblement entrer dans un monde nouveau et nous délivre une promesse qui nous enchante : celle de l’avenir radieux que nous attendons depuis toujours.

Mais comment celui ou celle que nous nous mettons à désirer provoque-t-il ces enthousiasmes ? A quel endroit sommes-nous touchés et comment nous devient-il indispensable ?

Car c’est bien de cela qu’il s’agit : cet autre nous saisit là où quelque chose en nous fait écho, d’une façon parfois radicale, évidente et absolue, mais toujours suffisante pour nous pousser à créer un lien.

Es-ce une ressemblance ? Une attente particulière ? Mais laquelle ? De « quoi » est fait notre désir ?

En fait, nous ne savons souvent pas grand-chose de tout cela ! L’origine même de notre conception de l’amour et de la manière dont il nous mène nous est largement inconnue : nous vivons nos relations dans le feu de l’action sans trop nous interroger sur leurs fondements ou leur raison d’être. D’une part, ce n’est pas si évident de s’y retrouver, face à un tel sujet, et d’autre part, nous pouvons aussi avoir l’illusion que trop questionner détruirait la spontanéité du sentiment.

Nous pensons qu’une trop grande connaissance des choses pourrait nuire à la magie amoureuse.

Or c’est bien souvent le contraire qui se passe : plus nous sommes en mesure de jouer la partition qui nous convient, sans le risque de jouer celle que quelqu’un d’autre et de nous éloigner de nous-même. »

« Bien sûr, nous avons l’impression de faire des choix personnels : tel âge, tel milieu, telle caractéristique physique, tel comportement nous plaisent plus que d’autres. Nous avons donc bien tous – en apparence – la possibilité de décider de ce qui nous convient le mieux, en fonction de nos propres critères. Mais, au fond, même cela ne dépend pas uniquement de nous et s’enracine aussi ailleurs, dans d’autres histoires qui nous précèdent et contribuent à faire de nous ce que nous sommes, en terme de valeurs, de construction psychique, de rapport au monde, de conception de la vie. Il s’agit d’abord de rencontrer cet ailleurs et de questionner la manière dont il nous habite au quotidien. »

Et c’est tout cela que l’on peut déterminer avec une analyse transgénérationnel.  Le couple de parents parfaits ou presque qui semblaient l’être, nous a mis une pression dans notre conception du couple.
La mère tyrannique qui fait fuir l’engagement.
Le film « Espèces Menacées » abordait très bien ce phénomène. Comment on peut aller chercher le père dans une relation avec un homme plus vieux ou homme violent et manipulateur quand le père ne s’est pas assez affirmé.

Dans tous les cas, nos choix de partenaires ne sont pas le fruit d’un hasard si vous en doutiez encore.

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La dépendance affective est un terme que l’on a découvert à la lecture du génial livre Le Chemin le moins fréquenté de Scott Peck.
A l’occasion de la sortie de son livre « 50 Exercices pour sortir de la dépendance affective » la psychopratricienne Géraldyne Prévot-Gigant créatrice des groupes de paroles pour femmes a répondu à plusieurs de nos questions.

Qu’est-ce que la dépendance affective et ses symptômes ?

Comment se détecte la dépendance affective ?
Sommes-nous dépendants affectifs ? La différence entre un attachement amoureux et une dépendance affective ?
Quelles sont les origines de la dépendance affective ?
Est-ce vraiment un problème si notre demande d’affection est toujours comblée ?
Vaincre sa dépendance affective peut-il mener mon couple à la rupture ?

Pour prendre conscience de votre dépendance affective, le livre de tests de Géraldyne Prévot-Gigant :

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Après avoir partagé la technique de l’hypnose comme solution pour oublier son ex rapidement, voici une nouvelle vidéo pour comprendre pourquoi nous choisissons toujours le même genre de partenaires ou tout simplement que nous vivons toujours le même type d’histoires amoureuses.
C’est à nouveau Guillaume Laurent Hypnothérapeute à Paris qui nous explique l’origine de ces schémas et comment nous pouvons trouver des solutions avec l’hypnothérapie.

Pourquoi je choisis toujours le même genre de partenaires ?

Pour répondre à cette question, il est important de comprendre comment nous procédons pour choisir un partenaire.

Tout d’abord il faut savoir que le choix de ce partenaire se fait de manière totalement inconsciente.

Une étude scientifique brésilienne a montré que nous allons naturellement rechercher un partenaire qui a un patrimoine génétique complémentaire au nôtre. Cela aura pour effet de fournir à notre future progéniture une plus grande résistance aux maladies et donc une meilleure chance de survie à long terme.
Des critères physiques ont également été mis en évidence par certains chercheurs comme la symétrie du visage ou encore le rapport entre la taille et les hanches, symbole de fertilité chez la femme.

Les scientifiques ont aussi montré que les odeurs corporelles et notamment les fameuses phéromones nous attirent naturellement vers ces personnes génétiquement compatibles.

Mais il n’y a pas que l’aspect génétique et physique dans une rencontre. Il y a tout ce que la personne peut dégager à travers sa personnalité, son histoire etc.

 Sa psychologie, son histoire de vie vont être des facteurs déterminants dans la qualité de la relation. Et encore une fois c’est notre inconscient qui va nous guider dans ce choix. Nous allons être attiré par la personne qui nous est complémentaire.

Notre Inconscient nous veut du bien en général alors comment expliquer dans ce cas que l’on puisse tomber sur des personnes qui ne conviennent pas ou qui nous fassent du mal ?

C’est là que réside le cœur du problème. Si nous possédons en nous une blessure psychologique, nous allons naturellement rechercher, et ceci de manière tout à fait inconsciente, celui ou celle qui porte la blessure susceptible de répondre à la nôtre.
Si par exemple vous rejouez une blessure de maltraitance, vous aurez inconsciemment tendance à rechercher un partenaire qui aura un rôle du persécuteur.

En fait, on peut dire que nous sommes responsables mais pas coupables. Tout le monde possède des blessures.
Certaines ont été héritées de nos parents qui les tenaient eux-mêmes de leur parents et qui nous les ont enseignées, sans le vouloir, pendant toute notre éducation.

Le fait d’avoir conscience de ce mécanisme peut nous permettre de venir soigner ou sublimer ses blessures. C’est important pour notre bien-être et pour le bien-être de notre entourage et c’est également important pour arrêter la propagation et ne pas transmettre nos blessures à nos enfants.

Mais comment ces blessures conditionnent le “choix” de notre partenaire ?

En fait nos blessures modifient la manière dont nous voyons le monde. L’image de l’homme idéal ou de la femme idéale s’est construite à travers le filtre de ces blessures. Et notre inconscient va naturellement aller à la rencontre de ces modèles masculin et féminin blessés que nous nous sommes forgés. 

Comment l’hypnose peut changer ça ?

Si l’on veut sortir de ce schéma, il faut soit sublimer, soit soigner ses blessures. Sublimer, ça veut dire utiliser une blessure comme un puissant moteur. Si l’on sublime une blessure d’injustice, on pourra avoir envie de devenir avocat ou juge ou en tout cas d’être dans un rôle qui apporte plus de justice dans le monde.

Dans le cadre particulier de la rencontre amoureuse l’Hypnose Humaniste va elle,  vous permettre de venir soigner cette représentation du masculin et du féminin intérieurs blessés. Et quand ce sera fait, votre inconscient, qui utilise ces représentations du masculin et du féminin comme modèles, se dirigera naturellement vers des personnes meilleures pour vous.

Comme le disait Gandhi : ”Commencez par changer en vous ce que vous voulez voir changer autour de vous”

Si vous n’êtes pas prêts à changer avec l’hypnose, vous pouvez lire le livre Le Chemin le moins fréquenté qui peut vous aider à prendre conscience de beaucoup de choses.

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