Light of my life, premier film vu en invitation presse depuis le confinement, et donc première projection presse vu en ligne depuis mon ordinateur.
Bilan : Il m’a captivé. Le film a réussi à ce que je ne sois pas dissipé par beaucoup d’éléments extérieur.
C’est donc validé et je vous dis pourquoi un peu plus bas.

L’histoire

Dans un futur proche où la population féminine a été éradiquée, un père tâche de protéger Rag, sa fille unique, miraculeusement épargnée.
Dans ce monde brutal dominé par les instincts primaires, la survie passe par une stricte discipline, faite de fuite permanente et de subterfuges. Mais il le sait, son plus grand défi est ailleurs: alors que tout s’effondre, comment maintenir l’illusion d’un quotidien insouciant et préserver la complicité fusionnelle avec sa fille ?

Bande annonce de Light of my life

Avis Light of my life

Le scénario prend. On a hâte de savoir comme ils vont s’en sortir. Personnellement, j’étais surtout curieuse de voir quel message Casey Affleck voulait nous faire passer à travers ce film notamment sur le féminisme.
Certes comme il le dit il a eu l’idée de ce film en tant que père. Il a lui même deux enfants dont il est séparé de la maman mais voilà peut-être un des problèmes dans l’écriture est qu’il a deux fils.
On ne se pose certainement pas les mêmes questions d’éducation lorsqu’on élève des fils plutôt qu’une fille surtout quand on est soi même un homme.
C’est marrant de voir certains clichés comme l’attrait pour un livre de « fille » à la couverture rose ou encore des vêtements à strass instinctivement alors que la jeune fille est censée n’avoir jamais été sociabilisée en tant que fille et abreuvée de culture pop.

Il aurait été intéressant de développer ce qui est instinctif ou pas selon notre genre comme dans ce super épisode du podcast les couilles sur la table :

Mais le film est avant tout une réflexion sur la paternité et même plus général sur la parentalité. Ce que l’on transmet à un enfant notamment à travers les « histoires » qu’on lui raconte.

Bonus : bon film pour expliquer à une adolescente ce qu’il va se passer quand on va avoir ses premières règles.

Certaines scènes sont violentes et un peu trash, j’éviterais d’emmener des enfants de moins de 12 ans.

Sortie le 12 août 2020 au cinéma

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Le nouveau film Un fils du réalisateur Mehdi M. Barsaoui, avec Sami Bouajila (Prix du Meilleur acteur au Festival de Venise – Orizzonti) et la magnifique Najla Ben Abdallah nous emmène dans le Sud de la Tunisie. Il aborde de nombreux sujets comme la montée du terrorisme, les lois tunisiennes souvent dépassées, la guerre des pays frontaliers, le don d’organe, la paterité et notamment celle de l’infidélité traitée différemment par rapport à Noura rêve.

Synopsis du film

Farès et Meriem forment avec Aziz, leur fils de 9 ans, une famille tunisienne moderne issue d’un milieu privilégié. Lors d’une virée dans le sud de la Tunisie, leur voiture est prise pour cible par un groupe terroriste et le jeune garçon est grièvement blessé…

L’histoire se déroule quelques mois après la chute de Ben Ali, et quelques semaines avant celle de Khadafi, exécuté en octobre.

Bande annonce Un fils

Avis

Quelle réussite pour le premier film de Mehdi M. Barsaoui en tant que réalisateur et scénariste ! Un film engagé, haletant, qui nous captive du début à la fin.
Les acteurs sont parfaits. On se met à leur place, on comprend le comportement et les réflexions de chaque personnage tout en ayant parfois un peu honte.
Le film est fort, puissant et nécessaire pour nous permettre de rentrer dans un société qu’on connait parfois pas ou peu et ainsi remettre en question notre rôle dans ce monde.

Le film sort au cinéma le 11 mars

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Il est rare que nous parlions de science fiction et pour cause nous ne sommes pas trop fans de ce type de film.
Avec Ad Astra, James Gray réalise son premier film dans cette catégorie, tourne la première fois avec Brad Pitt et on le remercie pour ça car il va mettre tout le monde d’accord pour le choix de la prochaine sortie ciné.

Le décor est parfait et se fond parfaitement à la psychologie du personnage principal. Dés les premières minutes on est happé par l’univers des astronautes, de l’espaces que l’on connait si peu.
Vont-ils réellement réparer des satellites gigantesques au milieu de l’espace comme si ils allaient réparer une éolienne comme un technicien EDF ?

Mais surtout on se régale à chaque plans sur Brad Pitt.

Prendre de l’âge lui va parfaitement bien

On ne se rappelle pas l’avoir vu aussi séduisant. Cela doit remonter aux années 90 pendant Légendes d’Automne ou encore Sept and au Tibet, il y a bien eu L’Étrange Histoire de Benjamin Button mais rien dans les années 2000 qui n’est véritablement attiré autant notre attention.

La sagesse et la force tranquille de l’âge ? Peu importe, il est parfait dans son rôle d’astronaute qui a des comptes à régler avec son père.

Bande annonce film Ad Astra

Avis sur Ad Astra

L’espace est un prétexte pour représenter le vide dans la vie de Roy et son job pour qu’il a consacré toute sa vie comme son père l’avait fait auparavant.
La puissance du modèle parental et plus particulièrement de la transmission entre père et fils, le film propose une thérapie et une vraie réflexion sur l’interprétation et l’image parfois fausse des modèles que nous nous faisons du monde.
Et qui parfois peuvent gâcher toute une vie si on ne les travaille pas assez tôt avec une thérapie par exemple quand la vie ne se charge de nous envoyer les messages.

Vous l’aurez compris on a beaucoup aimé Ad Astra et on vous le recommande pas juste pour la classe de Brad Pitt.

Le film Ad Astra sort le 18 septembre 2019 au cinéma

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C’est pour ce genre de film que nous aimons le cinéma. Un hommage, un témoignage et surtout oublier les précédents rôles de l’acteur principal Guillaume Canet, tellement il est habité par le personnage.
Touchant, il ne pouvait pas en être autrement avec le film Au Nom de la Terre qui raconte l’histoire vraie de la vie du père du réalisateur Edouard Bergeon.

Guillaume Canet est bouleversant de justesse dans son rôle d’agriculteur dévoué à sa ferme

À tel point investi, qu’il n’a même pas voulu de prothèse et opté pour une véritable calvitie en rasant ses cheveux.

Tourné principalement en Mayenne, c’est un film qui raconte 40 années de transformation agricole en France et de toutes les conséquences que cela a entraîné et notamment ce chiffre alarmant malheureusement toujours d’actualité : un agriculteur se suicide tous les 2 jours en France.

Une histoire qui permet d’aborder différents sujets notamment la dépression dans une forme particulière et une famille impuissante malgré tout l’amour qu’elle peut porter au proche.

L’actrice Veerle Baetens inoubliable dans Alabama Monroe n’est pas en reste dans son intense rôle de mère.

Chaque acteur trouve justement sa place comme le jeune Anthony Bajon qui du haut de ses 25 ans est totalement habité en tant qu’adolescent.

La bande annonce du film Au Nom de La Terre

Ce film sous ses allures de téléfilm du dimanche soir a au contraire tout d’un grand film. On ressort du cinéma en larmes et remué des jours après.

Au cinéma le 25 septembre 2019

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Les Cowboys a beaucoup fait parler de lui lors de la Quinzaine des Réalisateurs au dernier Festival de Cannes : « Les cowboys » de Thomas Bidegain, avec François Damiens, Finnegan Oldfield et John C. Reilly.
Lors d’un rassemblement country western dans l’est de la France, Kelly, la fille d’Alain disparaît. A partir de là, Alain se lance dans un parcours du combattant pour retrouver Kelly avec l’aide de son jeune fils Kid, qui va sacrifier toute son enfance pour retrouver sa sœur.
Kelly a, en réalité, fugué pour se convertir à l’Islam par amour et vivre avec un musulman radicalisé. 

Avec ce film, Thomas Bidegain passe pour la première fois derrière la caméra.

Ce cinéaste est surtout connu pour être le scénariste de « Dheepan » et « De rouille et d’os » de Audiard, et de « Saint Laurent » de Bonello.

Du coup, bien avant de voir le film, j’étais certaine que « Les Cowboys » aurait un scénario bien ficelé. Heureusement, car le Far West, la musique country et les santiags n’ont jamais fait parti de mes passions. 
Et malgré cette ambiance, je me suis laissée emporter par cette enquête, par ce père de famille dévasté par la disparition de sa fille, par ce voyage qui se déroule sur onze années…

Car derrière ce drame social, se cache un film politique terriblement ambitieux : parler des premières manifestations djihadiste des années 90 avec les codes du western n’était pas chose facile.

Et Bidegain s’en sort plutôt bien.

Notons bien que le film a été pensé (et se déroule) bien avant les attentats du 11 septembre, bien avant que tout le monde ait entendu parler du djihad.
Nous sommes donc face à ce père enfermé dans une spirale sans fin, qui va tout faire pour arriver à comprendre le pourquoi du comment et va transmettre cette rage à son fils.

Sur onze ans, la recherche de Kelly avance, mais le terrorisme aussi.

Cependant, la seconde partie du film s’essouffle et perd légèrement en crédibilité. On en oublierait presque l’enquête si captivante de la première partie, qui a laissé place à un film d’aventures, à un véritable western où les cowboys qui combattent d’habitude les indiens, combattent ici les islamistes.

La bande annonce Les Cowboys

Pour finir, le gros point positif du film restera son casting

Comme toujours, François Damiens nous étonne dans les rôles dramatiques, on ne l’a jamais vu aussi poignant que dans le rôle d’Alain. Et surtout, la révélation du film est Finnegan Oldfield. Retenez bien son nom, on risque de le revoir très souvent.
Un acteur de plus qui me fait croire en la nouvelle génération du cinéma français.

Bien qu’imparfait, ce film mérite un minimum de considération, notamment par son courage de sortir en salles juste après les tristes évènements qui ont touché la France le 13 novembre dernier… Un film rattrapé par l’Histoire certes, mais, avant tout, une œuvre qui doit être vue.

Le film sort le 25 novembre 2015.

Hop à gagner 5 invitations pour 2 personnes à voir le film

Pour participer il faut être fan de notre page Facebook et nous dire en commentaire votre film/sketch préféré avec Francois Damiens.
Tirage au sort dimanche 29 novembre au soir.
Les places ne sont valables qu’en France Métropolitaine.

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Lorsqu’on lit le titre Daddy Cool de ce film changé spécialement pour la France (le titre original est Infinitely Polar Bear) on s’attend à une comédie très drôle et on pense de suite à la chanson de Boney M mais il n’en est rien ou presque. 
Certes parfois ont ri car le papa Cameron est formidable, inventif, drôle, touchant, créatif mais surtout bi-polaire. Une vraie maladie qui touche des millions de gens. 

Le film est avant tout basé sur la reconquête de sa femme Maggie qui ne supporte plus ses crises répétées entre rires et larmes.

La carrière de la maman va l’emmener à partir loin de la vie familiale et l’obliger à laisser la garde de ses enfants au papa Cameron. 
Un papa pas comme les autres joué par le très doué Mark Ruffalo (vu entre autres dans le bon film New york Melody) mais au final qu’on aurait bien aimé avoir.

La bande annonce de Daddy Cool

Le film est très inspirée de la vie elle-même de la réalisatrice qui a eu à l’âge de 6 ans un papa diagnostiquée bipolaire. Sa fille dans la vie joue d’ailleurs le rôle d’une des deux filles dans le film Amélia.

Malgré quelques longueurs, on y va pour découvrir un papa bipolaire mais terriblement attachant qui donne envie d’avoir des enfants.

Le 8 juillet au cinéma.

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Starbuck, l’histoire d’un homme qui, plus jeune a fait de nombreux dons de spermes sous le pseudo Starbuck. Ces dons ont permis la naissance de 533 enfants.
20 ans après, une centaine d’entre eux décident de retrouver leur père génétique maintenant âgé de 42 ans.

Même si on est plutôt fan des québécois, de l’accent québécois et du Québec (déjà beaucoup de bons critères pour que le film nous plaise) quand on a lu le synopsis de Starbuck on avait peur de voir une comédie un peu lourde, potache et pleine de clichés.

Et finalement, ce fut une très belle surprise, un film où il est question d’instinct paternel et du rôle du père.

Les acteurs sont très bons surtout le célèbre Patrick Huard (connu pour Bon cop bad cop) ici dans le rôle principal. A plusieurs reprises, il a failli nous faire verser les larmes surtout dans une des scènes de la fin avec son père joué par Igor Ovadis.

Ce film est à voir surtout par les parents, futurs parents et particulièrement papas.
En tant que femme, le film a le mérite de poser la question sur la construction d’un enfant conçu sans père, et sans amour, avec juste sur une envie d’être mère.

Une histoire vraie ?

Oui, mais l’histoire est inspirée de celle d’un animal*!
La vie du célèbre taureau de Saint-Hyacinthe appelé Starbuck, il était géniteur de plus de 200 000 vaches laitières et veaux au Canada.

Additionné à cela, l’expérience des deux réalisateurs père de famille Ken Scott et Martin Petit vous obtenez un des premiers films traitant aussi bien le sujet de la paternité à ma connaissance.

*On trouve dans les faits divers anglais l’histoire d’un médecin propriétaire d’une clinique de fertilité qui aurait fait don de son sperme à la plupart de ses patientes et qui serait actuellement père de 600 enfants.
Mais ici rien avoir avec l’histoire du film puisque le médecin a agit volontairement et que ce fait divers date à avril 2012 pratiquement un an après la sortie du film au Québec.

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Vendredi dans un avion Berlin/Paris, on fait connaissance avec la voisine et bien sur on parle des Bridgets. Comme souvent, l’effet secondaire, on se confie. Soudain elle me raconte cette histoire vraie : Elle a 19 ans et elle fait partie de cette génération porno. Elle est mignonne avec de longs cheveux bruns et de grands yeux verts. Elle a de quoi faire souvent l’unanimité auprès des hommes surtout qu’elle fait plus que son âge.

Un mois de vacances d’été comme les autres, alors âgée de 17 ans. 

Des sorties entre cousines, des nouvelles rencontres, elles découchent parfois. Ou plutôt elles couchent.
Lui, il est mignon, il ressemble à un de ses acteurs dans les séries américaines.
La vingtaine, un corps bien dessiné et le teint mat.
Mais après quelques verres, on a beau se plaire, on a pas grand chose à se raconter, on se plait c’est tout.

En été, les nuits sont chaudes, les sacs à main petits, les hommes en short et parfois torse nus. Autant dire que de penser glisser un préservatif dans son portefeuille devient vite du domaine de l’impossible.
Lui, c’est son dernier jour, le lendemain il repart. Alors d’autres rencontres s’enchaînent pour elle.
Il faut bien aussi s’occuper.

Cet été là, ils seront 4 à obtenir ses faveurs.

Barrière de la langue, insouciance de la vie, frivolité de l’instant, ils ne se demandent pas grand chose, et surtout ne préférent pas s’attacher avec la distance sachant le peu de probabilité qu’il y a sur la durée.

Retour à Paris dans le 16ème, en classe de 1ère, les mois passent.

Quelques douleurs au ventre, des nausées (cela doit être les lendemain de cuite) mais rien de bien alarmant. Puis elle finit par consulter un médecin, le verdict tombe, elle est enceinte de 7 mois.
On appelle ça un déni de grossesse.
C’est certain, elle est tombée enceinte pendant son mois de vacances. C’était un des 4, mais lequel ?
De toute façon, elle ne se rappellent pas des 4 prénoms et ni dans quel ordre avec lequel elle a couché.
Surtout que depuis il y en a eu beaucoup d’autres.

Il est beaucoup trop tard pour avorter, elle est obligée de le garder.

Et c’est là que nous trentenaires, on se souvient d’une époque où l’on était super sensibilisés.

Christophe Dechavanne qui nous disait quotidiennement à la télévision « Sortez couvert »

D’une soirée Sidaction avec Clémentine Célarié qui embrassait un malade du Sida.
Alors que vous vingtenaires, vous pouvez passer 3 jours au Solidays sans apercevoir l’ombre d’un préservatif.

Certes un préservatif peut craquer, mais les statistiques sont faibles.
Le constat est là : Les nanas vous avez du oublier que vous preniez la pilule ou pas, bordel, il faut se protéger !
Et vous, jeunes hommes, elle peut très bien avoir un moyen de contraception alors qu’en fait elle prend sa pilule aussi souvent qu’elle rencontre un homme, donc inefficace.

A ne jamais oublier : Chaque rapport non protégé, c’est prendre leur risque d’avoir un enfant de toi quelques part dans le monde.

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Le film « Et soudain tout le monde me manque » avec Mélanie Laurent et Michel Blanc mais aussi le moins connu mais néanmoins charmant Guillaume Gouix qu’on aimerait voir plus souvent à l’écran est une comédie dramatico-romantique parce qu’on rit, on pleure et on bave devant les acteurs.

L’histoire parle d’une relation père/fille. D’une nana qui n’a pas résolu tous les problèmes avec son père. D’un père qui aime sa fille mais qui a toujours été maladroit pour lui montrer.

Mais aussi une chouette histoire d’amour qui contrairement aux dernières comédies romantiques vues au cinéma comme Sex Friends ou encore Love et autres drogues, nous montre un homme et une femme presque trentenaires, se séduire sur plusieurs jours voir plusieurs semaines! (Dingue non?)
Vous savez ces périodes où l’homme prend le temps d’accoster une femme, de l’inviter à boire un verre, de faire connaissance, de lui faire découvrir ses passions, ses amis, sans forcément lui sauter dessus au deuxième ou troisième rendez-vous quand ce n’est pas le premier.

Rare, réaliste ou pas, en tout cas ce film fait du bien. Et même si vous ne vous laissez pas prendre au jeu, il a le mérite pour vous messieurs d’apprécier une Mélanie Laurent indépendante, un peu barrée et tout de même sexy en t-shirt, jean et basket. Mais surtout Mesdames de découvrir un Guillaume Gouix au regard bleu lagon qui laisse véritablement rêveuse.

En attendant de le revoir (peu de belles photos du jeune homme sur le net), il nous reste la bande-annonce à regarder en boucle.

Pour couronner le film, la B.O du film est vraiment sympa.

Note : Plusieurs scènes du film mettent en avant le Relai de l’Entrecôte et une sauce dont Justine et son père Elie essaient de deviner la composition. Par pur hasard le soir même de la projo, nous avons eu la chance de la déguster !

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