La rubrique « Films » propose une sélection films romantiques, dramatique, d’amour, de comédie… sur nos relations
Critiques et d’analyses de films récents et classiques, avec une mine d’informations pour enrichir leur expérience cinématographique.
Les articles abordent divers genres, thèmes et réalisateurs, tout en mettant en lumière des œuvres marquantes ou méconnues.
A trois on y va est au cinéma depuis le 25 mars. Un joli triangle amoureux où la beauté des acteurs n’y est pas pour rien.
On retrouve la belle Anais Demoustier (vu dans Une nouvelle amie au côté de Romain Duris) toujours aussi belle et attachante, on découvre Sophie Verbeeck mais surtout on revoit le beau Felix Moati qu’on ne voit vraiment pas assez à l’écran.
Le 1er avril, on retrouve au cinéma dans un nouveau film la jolie Emma De Caunes accompagnée d’un beau grand brun Yannick Renier.
L’histoire de Les Châteaux de Sable part du décès du père d’Eléonore (Emma De Caunes) qui doit se rendre en Bretagne pour vendre la maison de son père qu’elle a obtenu en héritage. Elle demande à son ex Samuel de l’accompagner car elle ne se sent pas la force de s’y rendre seule. Un week-end quelques jours où l’ancien couple fusionnel va prendre le temps de discuter vraiment.
Malgré 4 années passées aux Beaux Arts, je n’avais jamais entendu parler de l’artiste Margaret Keane ni même de son mari Walter Keane (peut-être trop commercial, artisanal pour mes profs de l’époque).
Son travail, j’ai du éventuellement apercevoir un portrait sur une boite de chocolats quand j’étais petite.
Le documentaire d’infrarouge est encore en replay sur Pluzz pour seulement quelques jours. Il a été diffusé mardi 10 mai en 2ème partie de soirée sur France 2 à 22H40.
Ce premier reportage nous dresse le portrait de 4 couples qui sont ensemble depuis plusieurs années. (Houra parmi eux un couple de gays)
Incroyable mais vrai, il n’y a jamais eu de biopic sur Martin Luther King au cinéma.
Et pourtant, depuis quelques années, les biographies sont très à la mode à Hollywood ! « Selma », c’est le récit d’un combat historique. Celui du Dr. Martin Luther King, déterminé à obtenir le droit de vote pour tous les citoyens américains, dont les afro-américains. Une dangereuse et terrifiante campagne qui s’est achevée par une longue marche mémorable, de Selma (ville la plus touchée par le racisme) à Montgomery en Alabama.
Les 7 raisons de ne pas aller voir « 50 nuances de Grey » ne m’ont malheureusement pas suffit pour que je me retrouve le 11 février, à 8h55, à la première séance public mondiale du film.
Pour être une habituée des premières séances du mercredi, je peux vous dire qu’il y avait du monde…
J’ai lu les bouquins, j’ai suivi attentivement la super méga promo du film (comment ne pas y avoir échappé en même temps), j’ai écouté la très bonne bande-son sur le net, je suis prête à regarder la rencontre entre l’étudiante en lettres Anastasia Steele et le beau et riche homme d’affaires Christian Grey…
Les films d’amour et comédies romantiques sont un peu les contes de fée des adultes. Si ils nous touchent souvent autant c’est parce qu’ils font échos à quelques choses de vécu.
Voilà pourquoi, il nous arrive de nous donner rendez-vous devant ce type de films pour pleurer pendant des heures avec les copines un pot de glaces ou une tablette de chocolats entre les mains. On se comprend et on se cajole.
On sait très bien que ce n’est pas un article qui va déjouer vos plans d’organisations, vos agendas bloqués, vos réservations de nounous, vos moults arguments dont vous assaillez votre mec depuis des mois pour qu’il vienne avec vous voir 50 nuances de Grey au cinéma pour la Saint Valentin.
Mais voilà pour notre âme et conscience, il fallait qu’on l’écrive et qui sait peut-être en dissuader quelques unes.
ou quand une femme mariée juive hassidique rencontre un athée un peu paumée dans les rues de Montréal.
Un romance qui a eu pour moi une résonance particulière après avoir passé cet été 3 mois à New York et plus précisément à Brooklyn.
En effet, le film montre dans l’intimité la vie de familles juives hassidiques. Une communauté que j’ai pu croiser à plusieurs reprises lorsque je m’égarais dans les rues entre Fort Green et Williamsburg.
Voilà la question à laquelle essaie de répondre le film « Toute Première fois » avec le beau Pio Marmaï et la connasse Camille Cottin sur Canal+.
Nous avons vu le film accompagnée d’un copain gay, histoire d’avoir un autre avis concerné à ce sujet.
Attention, on va spoiler un petit peu donc si tu comptes aller voir ce film ne lit pas la suite enfin si, mais après l’avoir vu.