Aujourd’hui, seulement 1% des couples se rencontrent sur internet.

29 janvier 2013

L’INED (Institut National d’Etudes Démographiques) vient de publier une toute nouvelle étude.
Elle fait le point sur « Où nous rencontrons notre premier partenaire sexuel et notre premier conjoint ». Nous remarquerons que l’étude prend en compte un fait de notre époque, elle distingue bien le premier partenaire sexuel du premier conjoint.

Alors comment rencontrons nous le plus souvent notre premier partenaire ? Quels sont les lieux de rencontre à privilégier ?

Dans les années 60 alors que nos parents se rencontraient dans les bals et grâce au voisinage, aujourd’hui on rencontre son premier conjoint :

– dans les soirées entre amis (18%),
– pendant ses études (15%),
– à ma grande surprise les lieux publics (15%) donc le métro, la salle du docteur ou les supermarchés auraient-ils un grand potentiel ?
– et quand même 11% se rencontre dans les boites et autres discothèques.

Malgré son succès et l’engouement, les sites de rencontres n’apparaîssent pas dans les moyens les plus efficaces lorsqu’il s’agit de rencontres sérieuses. Ils restent timides dans le palmarès des lieux de rencontre puisque seulement 1% des hommes et femmes interrogés ont rencontré leur premier conjoint ou leur premier partenaire sexuel sur Internet. Ces chiffres vont sûrement gonfler dans les années à venir.
Le Web semble « davantage […] un facilitateur de contacts [qu’] un lieu de formation des couples », explique l’INED.

Pour ceux qui en douteraient encore aujourd’hui le premier partenaire sexuel n’est souvent plus le premier conjoint.

Les études sont le premier cadre de rencontre du premier partenaire sexuel, plus souvent pour les hommes que pour les femmes (39 % contre 25%).
– Ces dernières sont en revanche plus nombreuses qu’eux à rencontrer leur premier partenaire sexuel dans des soirées entre amis (15 % contre 10%).
– Les lieux de la vie quotidienne (études, travail, lieux publics et voisinage) réunissent plus de 60 % des rencontres pour les hommes, contre moins de 50 % pour les femmes.

Plus on est diplômé, plus on a de chances d’avoir rencontré son premier partenaire sexuel dans un cadre scolaire (le lycée généralement).

Lorsqu’on est peu diplômé, les rencontres dans les lieux publics et les lieux de danse sont plus fréquentes.

Avec l’allongement des études, les couples se forment de plus en plus tard.

Si le premier partenaire sexuel est plus rarement le premier conjoint, les Français continuent à se mettre en couple avec des personnes « proches socialement », ce qu’on appelle l’homogamie sociale.

Les chercheurs se sont servis de l’enquête « Contexte de la sexualité en France », de 2006 (ce qui expliquerait le faible tôt pour les sites de rencontres beaucoup plus populaires aujourd’hui) et menée auprès de plus de 12 000 personnes pour tirer leurs conclusions.
Des chiffres qui rejoignent vaguement ce que pensaient les célibataires en 2005 en matières de lieux de rencontres.

Source

  • arnaud
    14 mars 2013 at 10 h 55 min

    oui je pense bien les sites sont gratuit pour la femme ou à petit prix alors que les homme eux paie plein pot,dans les soirée entre amis tu parle la fille qui n’est même pas foutu d’invité un mec à dansé sans nous sortir des excuses complétement bidon comme quoi c’est au garçon de le faire bla bla bla et j’en passe,pendant les études la fille qui n’est même pas foutu de décrocher un mot oui je pense bien,les lieux public oui je pense bien la fille qui à sont portable collé à l’oreille pour être sur qu’il y est pas un mec qui lui adresse la parole sans compté sur les filles qui nous tir la soupe à la grimasses le sourire connais pas

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