Vous êtes le genre de personnes à qui l’ont dit souvent « T’es encore amoureuse d’un nouveau ? », « mais à chaque fois c’est pareil tu t’emballes ! », « T’étais pas amoureuse d’un autre, il y a un mois ? ». Ce qui est certain c’est qu’on en a forcément croisé un, un jour ou l’autre et ce type de profil a une réelle explication psychologique.
Une aptitude à changer si rapidement l’objet de son intérêt est caractéristique des individus passifs-dépendants. Peu importe de qui ils sont dépendants, du moment qu’ils ont quelqu’un.
Peu importe leur identité, du moment qu’il y a quelqu’un pour leur en donner une.
En conséquence, leurs relations avec les autres sont extrêmement superficielles (c’est aussi valable en amitié), bien que spectaculaires par leur apparente intensité. À cause de la force de leur sentiment de vide intérieur et de leur désir de le combler, ils ne supportent aucun retard dans l’assouvissement de leur besoin des autres.

Si votre but dans la vie est de vous faire aimer, vous échouerez. La seule façon de s’assurer l’amour, c’est d’être digne d’amour, ce que vous ne pourrez pas être tant que votre seul but sera d’être aimé passivement.

Cela ne veut pas dire que les passifs-dépendants ne font jamais rien pour les autres, mais plutôt que le motif de leurs actions est de forcer l’attachement des autres afin de s’assurer leur attention. Et ils ont du mal à agir sans réciprocité immédiate.

Il nous faut toujours dire et répéter aux couples qu’une bonne relation ne peut exister qu’entre deux personnes matures, fortes et indépendante.

S’accepter comme nous sommes.

La dépendance passive prend sa source dans le manque d’amour. Le sentiment de vide intérieur dont souffrent les passifs-dépendants est la conséquence directe de l’incapacité manifestée par leurs parents à assouvir leurs besoins d’affection et d’attention pendant l’enfance. 

Les enfants aimés et choyés avec constance entrent dans l’âge adulte avec le sentiment d’avoir de la valeur et d’être dignes d’amour. 
Cela leur vaudra d’être aimés tant qu’ils resteront honnêtes avec eux-mêmes. 
Tandis que les enfants qui grandissent dans une famille ou l’amour et l’attention sont rares ou totalement absents deviennent des adultes manquant de sécurité intérieure : ils ne sont pas sûrs d’eux, doutent de leur valeur, ils ont le sentiment de ne jamais avoir assez, que le monde est imprévisible et peu généreux. 
Rien d’étonnant à ce qu’ils se précipitent pour grappiller un peu d’amour et d’attention partout ou ils peuvent en trouver. Ils s’y accrochent alors avec désespoir et manifestent un comportement peu affectueux, manipulateur, machiavélique, détruisant le lien qu’ils cherchaient à préserver. 

L’amour et la discipline vont de pair. 

Cela implique que des parents non affectueux et non attentionnés manquent de discipline et, lorsqu’ils ne réussissent pas à donner à leurs enfants le sentiment d’être aimés, ils échouent par là même à leur apprendre la discipline. 
La dépendance excessive dont souffrent les passifs-dépendants n’est donc qu’une des principales manifestations de leur trouble de la personnalité ; ils manquent aussi de discipline. Ils ne veulent pas ou ne peuvent pas retarder l’assouvissement de leur soif d’attention. 
Dans leur recherche désespérée de liens à créer et à conserver, l’honnêteté ne compte plus. Ils s’accrochent à des relations moribondes au lieu d’y mettre fin. Et le plus grave, c’est qu’ils n’ont aucun sens des responsabilités. 

Passivement, ils voient les autres – souvent leurs propres enfants – comme étant leur seule source de bonheur et d’épanouissement, les considérant comme responsable de leur vide intérieur. 
En conséquence, ils sont perpétuellement en colère, en réaction se sentant abandonnés par les autres, qui ne peuvent jamais combler réellement leurs désirs ou les rendre heureux.

Un de mes collègues dit souvent :

– Écoute, devenir dépendant de quelqu’un est le pire mal que tu puisses te faire. 

Tu serais même mieux si tu étais dépendant de l’héroine car, tant que tu pourrais t’en procurer, elle ne te laisserait jamais tomber et pourrait te rendre heureux. Mais si tu attends le bonheur de quelqu’un d’autre, alors tu seras toujours déçu.

D’ailleurs, ce n’est certainement pas un hasard si le plus courant des problèmes qu’ont les passifs-dépendants – outre leurs relations avec les autres – est la dépendance vis-à-vis de l’alcool ou de la drogue.
Ils ont une mentalité de  »drogués ». Ils sont dépendants des autres dont ils pompent la substance, et quand ceux-ci ne sont pas (ou plus) disposés à se laisser pomper, ils se tournent vers la bouteille, la seringue ou la pilule.

En résumé, la dépendance peut apparaître comme de l’amour parce que c’est une force qui oblige des gens à s’attacher farouchement l’un à l’autre. Mais, en fait, c’est une forme d’anti-amour qui prend sa source dans le manque d’amour parental et perpétue celui-ci.
Il incite à recevoir plutôt qu’à donner. Il nourrit l’infantilisme plutôt que l’évolution. Il oeuvre pour piéger et restreindre plutôt que pour libérer. Et enfin, il détruit, plutôt qu’il ne construit, des relations aussi bien que des êtres humains.

Pour en savoir plus, lisez le très bon livre Le chemin le moins fréquenté de Scott Peck avec lequel a été écrit la majorité de cet article. Certainement un des meilleurs livres que j’ai pu lire à ce jour.

L’article Dépendante Passive ou pourquoi je tombe souvent et rapidement amoureuse est apparu en premier sur Les Bridgets.

Après avoir partagé la technique de l’hypnose comme solution pour oublier son ex rapidement, voici une nouvelle vidéo pour comprendre pourquoi nous choisissons toujours le même genre de partenaires ou tout simplement que nous vivons toujours le même type d’histoires amoureuses.
C’est à nouveau Guillaume Laurent Hypnothérapeute à Paris qui nous explique l’origine de ces schémas et comment nous pouvons trouver des solutions avec l’hypnothérapie.

Pourquoi je choisis toujours le même genre de partenaires ?

Pour répondre à cette question, il est important de comprendre comment nous procédons pour choisir un partenaire.

Tout d’abord il faut savoir que le choix de ce partenaire se fait de manière totalement inconsciente.

Une étude scientifique brésilienne a montré que nous allons naturellement rechercher un partenaire qui a un patrimoine génétique complémentaire au nôtre. Cela aura pour effet de fournir à notre future progéniture une plus grande résistance aux maladies et donc une meilleure chance de survie à long terme.
Des critères physiques ont également été mis en évidence par certains chercheurs comme la symétrie du visage ou encore le rapport entre la taille et les hanches, symbole de fertilité chez la femme.

Les scientifiques ont aussi montré que les odeurs corporelles et notamment les fameuses phéromones nous attirent naturellement vers ces personnes génétiquement compatibles.

Mais il n’y a pas que l’aspect génétique et physique dans une rencontre. Il y a tout ce que la personne peut dégager à travers sa personnalité, son histoire etc.

 Sa psychologie, son histoire de vie vont être des facteurs déterminants dans la qualité de la relation. Et encore une fois c’est notre inconscient qui va nous guider dans ce choix. Nous allons être attiré par la personne qui nous est complémentaire.

Notre Inconscient nous veut du bien en général alors comment expliquer dans ce cas que l’on puisse tomber sur des personnes qui ne conviennent pas ou qui nous fassent du mal ?

C’est là que réside le cœur du problème. Si nous possédons en nous une blessure psychologique, nous allons naturellement rechercher, et ceci de manière tout à fait inconsciente, celui ou celle qui porte la blessure susceptible de répondre à la nôtre.
Si par exemple vous rejouez une blessure de maltraitance, vous aurez inconsciemment tendance à rechercher un partenaire qui aura un rôle du persécuteur.

En fait, on peut dire que nous sommes responsables mais pas coupables. Tout le monde possède des blessures.
Certaines ont été héritées de nos parents qui les tenaient eux-mêmes de leur parents et qui nous les ont enseignées, sans le vouloir, pendant toute notre éducation.

Le fait d’avoir conscience de ce mécanisme peut nous permettre de venir soigner ou sublimer ses blessures. C’est important pour notre bien-être et pour le bien-être de notre entourage et c’est également important pour arrêter la propagation et ne pas transmettre nos blessures à nos enfants.

Mais comment ces blessures conditionnent le “choix” de notre partenaire ?

En fait nos blessures modifient la manière dont nous voyons le monde. L’image de l’homme idéal ou de la femme idéale s’est construite à travers le filtre de ces blessures. Et notre inconscient va naturellement aller à la rencontre de ces modèles masculin et féminin blessés que nous nous sommes forgés. 

Comment l’hypnose peut changer ça ?

Si l’on veut sortir de ce schéma, il faut soit sublimer, soit soigner ses blessures. Sublimer, ça veut dire utiliser une blessure comme un puissant moteur. Si l’on sublime une blessure d’injustice, on pourra avoir envie de devenir avocat ou juge ou en tout cas d’être dans un rôle qui apporte plus de justice dans le monde.

Dans le cadre particulier de la rencontre amoureuse l’Hypnose Humaniste va elle,  vous permettre de venir soigner cette représentation du masculin et du féminin intérieurs blessés. Et quand ce sera fait, votre inconscient, qui utilise ces représentations du masculin et du féminin comme modèles, se dirigera naturellement vers des personnes meilleures pour vous.

Comme le disait Gandhi : ”Commencez par changer en vous ce que vous voulez voir changer autour de vous”

Si vous n’êtes pas prêts à changer avec l’hypnose, vous pouvez lire le livre Le Chemin le moins fréquenté qui peut vous aider à prendre conscience de beaucoup de choses.

L’article Pourquoi je choisis toujours le même genre de partenaires ? est apparu en premier sur Les Bridgets.

Il existe deux dictions : « Les côtés opposés s’attirent » et « Qui se ressemble, s’assemble ». Selon la rencontre que l’on est amenée à vivre, on peut citer l’un ou l’autre.
Même si les deux sont vrais, un seul peut durer sur le long terme ou du moins sans trop de pertes et fracas : le deuxième.

Le livre très intéressant « Le choc amoureux » de Francesco Alberoni que j’ai découvert il y a quelques temps, aborde le coup de foudre, la rencontre qui se transformera oui ou non en relation durable.

Il distingue deux étapes dans la rencontre : 

– Le fait de tomber amoureux et de vivre les premiers moments (mois) d’une relation : L’amour naissant
– et puis la deuxième phase l’amour (tout court) qui malgré la belle rencontre n’arrive pas toujours et c’est souvent le cas dans le coup de foudre.
Il donne plusieurs pistes dans le livre, voici l’aperçu d’une d’entre elles que je trouve très juste :

Il arrive souvent que deux personnes, la première menant une existence pleine, la seconde plus favorable au changement car plus libre, tombent amoureuse l’une de l’autre.

C’est le cas fréquent :
– d’une personne mariée avec une personne célibataire,
– d’une personne mûre et d’une personne très jeune,
– d’une personne politiquement ou religieusement engagée et d’une autre non engagée.

Celle qui a le plus d’occupations est celle qui a le plus de changements à effectuer dans sa vie pour que la nouvelle relation fonctionne.

Hors l’autre l’aime ou est tombé(e) amoureux justement pour toute cette complexité et ces choses que l’autre doit changer pour que la nouvelle relation fonctionne.
Là est tout le paradoxe de ces personnes qui une fois en couple, change complètement leur vie.
Comme par exemple une femme qui va arrêter sa carrière pour élever ses enfants alors que son homme avait été séduit pas son ambition.
Ou encore cette homme qui avait mille et une activités dans son parti politique et qui a presque tout arrêté pour passer plus de temps avec sa compagne.

C’est pourquoi l’amour nait plus facilement lorsque les deux personnes se trouvent dans une situation plus équilibrée car chacune étant assez libre et ne changent pas fondamentalement leur vie.
Paradoxalement dans ce cas, l’amour naissant est également moins intense parce qu’elle est moins révolutionnaire, elle implique peu ou pas de bouleversement dans la vie de chacun. Ce qui peut toutefois être beaucoup plus reposant à vivre.

Tomber amoureux peut donc marquer, bouleverser l’existence d’une personne ou de deux personnes sans que naisse un amour.
Un amour au contraire peut surgir sans qu’une passion bouleversante l’ait précédé, mais d’une rencontre sereine, du plaisir d’être ensemble, de la possibilité d’établir ensemble ce que chacun veut séparément.

C’est pourquoi il est important que dans un couple il y ait des passions, activités communes. Ce peut être un sport, une religion, un travail, un projet, une passion, un leitmotiv commun que l’on porte et pousse ensemble.

« L’amour naissant, comme tout état naissant est une tentative de l’imaginaire pour s’imposer à l’existant. (…) Plus la tâche est grande, plus long est le voyage, moins probable est l’arrivée. »

L’article Le choix de son partenaire : qui se ressemble, s’assemble ? est apparu en premier sur Les Bridgets.

Ce n’est pas un secret, nous savons que les phéromones font partie des facteurs déterminants lors de nos rencontres, nos attirances, nos choix de partenaires.Mais les phéromones ont beaucoup d’autres effets sur nos actes, et notre nature humaine.
Les phéromones sont des véritables signaux inconscients qui agissent sur nos comportements…

On a déjà parlé des phéromones et de leurs actions sur nos attirances envers l’autre sexe.
Pour faire court et bref, les phéromones se sont des substances volatiles (comme les odeurs) qui se concentrent dans les sécrétions (glandes apocrines) et exhalations corporelles (y compris notre souffle).

Tu en dégages sans t’en rendre compte!

Cette hormone que nous libérons inconsciemment nous aide à plusieurs étapes de notre vie pour choisir notre partenaire:

Par exemple à la puberté (adolescence), les femmes sont plus attirées par les odeurs des hommes les plus différents d’elles au niveau de leur système immunitaire.
Alors que le choix s’inverse quand les femmes sont enceintes : elles reviennent vers une préférence pour des personnes leur ressemblant.

En 1998 Karl Grammer chercheur dans le domaine du comportement et de la biologie évolutive a annoncé que la pilule contraceptive réduit la production de phéromones des femmes et en baisse leur perception.
Donc la pilule nous bride dans notre détection naturelle du partenaire idéale.
Voilà un bon argument pour stopper la pilule quand vous êtes célibataires, non? en plus vous ferez du bien à votre corps!

Les hommes sont capables de déterminer grâce à notre odeur la position d’une femme dans son cycle menstruel

Ainsi ils modifieraient leur comportement en fonction : ils seront beaucoup plus attentionnés (et présents) pendant ses périodes de fécondité c’est-à-dire 14 jours après le premier jour des règles.

Pour calculer votre période de fécondité c’est par ici.

Les femmes vivant ensemble synchronisent leur cycle menstruel.

Avis aux colocataires, et autres femmes vivant ensemble, il paraitrait que nous synchronisons nos cycles menstruels quand nous n’ovulons pas c’est à dire quand nous prenons la pilule ( qui provoquent une ovulation artificielle).
Rappelez-vous les filles quand vous étiez à l’internat, en vacances plusieurs mois voir souvent avec les mêmes nanas, vous étiez souvent synchros avec les copines dans vos dates de règles?

Le mariage baisse le taux de testostérone chez les hommes

Les hommes mariés voient leur taux de testostérone baisser.

Constat de Bridget

Pour avoir testé le célibat et donc la séduction avec et sans pilule je confirme que cela marche beaucoup mieux lorsque je ne la prend plus.
Afin de ne pas multiplier les avortements je tiens à préciser que pour toutes relations avec un nouveau partenaire le préservatif est obligatoire.

L’article A la recherche d’un ou d’une partenaire : Libère tes phéromones est apparu en premier sur Les Bridgets.