Les 5 principaux regrets des gens avant de mourir

16 juillet 2022

Il y a un article publié en 2012 sur internet que je ne cesse de citer et auquel je pense souvent. Celui d’une infirmière australienne, en charge de patients dans les dernières semaines de leur vie, qui a recueilli leurs derniers mots, voeux et souhaits avant de mourir.

Elle en a fait un livre The top five regrets of the dying (Les cinq regrets des personnes en fin de vie) paru à la fin de l’été 2011. Bronnie Ware s’intéresse plus particulièrement à la «clarté de vision que les gens atteignent à la fin de leur vie, et à la façon dont nous pourrions apprendre de cette sagesse».

Elle explique que les réponses de ses patients sur leurs regrets ou des choses qu’ils auraient aimé faire de manière différente se recoupaient, sur «des thèmes communs qui revenaient constamment».

Voici les cinq plus grands regrets avant de mourir des patients qu’elle a noté :

1. J’aurais aimé avoir le courage de vivre comme je voulais, et pas de vivre la vie qu’on attendait de moi

C’est, d’après Bronnie Ware, le regret le plus partagé.

«Quand les gens se rendent compte que leur vie est presque terminée et qu’ils la regardent avec clarté, c’est facile de voir le nombre de rêves qu’ils avaient et qu’ils n’ont pas réalisé.»

Cela demande un long travail sur soi de comprendre pourquoi nous faisons certaines choses au dépend de notre bonheur. Tout le monde n’est pas prêt à effectuer une thérapie et c’est comme cela qu’on peut vivre un de ses plus grands regrets.
Heureusement de plus en plus de personnes n’ont pas peur du jour au lendemain de changer leur parcours de vie.

2. Je regrette d’avoir travaillé si dur

Le regret des patients masculins de l’infirmière.

«Les femmes l’ont également dit, mais comme la plupart d’entre elles étaient d’une génération plus ancienne, la plupart de mes patientes n’avaient pas été celles qui soutenaient financièrement leur famille.»

Travailler plus pour gagner plus, un certain président en avait fait son slogan de campagne. Certains l’ont pris pour argent comptant au dépend de leur bonheur.
Le plus dur c’est quand ils emportent femme et enfants dans leur obsession au travail. Une fuite du vide, une impression de maitriser sa vie au moins à ce sujet là, chaque personne a ses raisons mais encore une fois avec un bon travail sur soi-même on peut s’éviter de passer à côté d’une vie heureuse.

3. J’aurais voulu avoir le courage d’exprimer mes sentiments

Toutes les coachs de psychologie positive mais aussi la famile Chedid vous le disent, on ne dit jamais assez aux gens qu’on aime, qu’on les aime. Il n’est jamais trop tard de comprendre le pouvoir de la gratitude.

 

Vous pouvez le faire en envoyant des fleurs.

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4. Je regrette de n’être pas resté en contact avec mes amis

Bronnie Ware assure que ses patients « ne se rendaient vraiment compte de l’avantage des amis de longue date que dans leurs dernières semaines, et il n’était pas toujours possible de les retrouver ».
Voici un point qui rejoint le point 2 comment entretenir un contact avec ses amis quand on travaille dur et qu’on ne prend pas le temps de dire ses sentiments.

5. J’aurais aimé m’autoriser à être plus heureux

Un regret «étonnamment partagé», d’après l’infirmière.

«La plupart ne réalisait qu’à la fin que le bonheur était un choix.»

Et si ce dernier point, était accessible grâce au 4 points précédents entre autres, qui seraient la clé du bonheur ?

Maintenant vous avez des pistes pour accéder au bonheur et à une vie avec le moins de regrets possibles.
Vous commencez par quoi ?

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