La colocation : un remède contre la solitude du célibat ?

9 mars 2019

Beaucoup de célibataires voir même des couples vivent en colocation dans les grandes villes. Ayant souvent comme première motivation avoir plus d’espace à moindre coût. Mais est-ce vraiment une solution ?
Cela paraît tellement cool et facile dans les séries américaines comme Friends ou encore How I Meet You Mother que les bridgets ont testé pour vous 18 mois de colocation.

Vivre en colocation, ce n’est pas la même chose pour tout le monde.

Tout d’abord, il y a les grosses colocations mixtes du type 5 chambres minimum avec des couples et des célibataires. Là il faut aimer l’esprit des années 70 avec la vie en communauté.
Mais il y a aussi les petites colocations, seulement 2 personnes voir max 3 personnes qui partagent le même logement.

Nous allons vous parlez de ces dernières: les petites colocations

Le plus important dans une colocation est de bien choisir la personne avec qui l’on va se mettre en colocation.
Certaines personnes s’en contrefichent parce qu’elles voyagent beaucoup, sont souvent en vadrouilles donc la vie dans la coloc’ c’est juste pour y dormir, y passer en coup de vent et surtout partager le loyer.

Mais si vous avez décidé d’y vivre réellement (ce qui est quand même le cas de nombreuses personnes) c’est là qu’il est important d’avoir bien choisi sa/son coloc.

Très important avoir le même type de vie

Parce qu’il va falloir cohabiter ensemble au quotidien.
Si vous avez une vie active avec des horaires réguliers et soutenus, vivre avec un/une étudiante n’est pas chose simple car elle, au contraire voudra sûrement faire la fête ou si elle fait des études soutenues elle voudra beaucoup de calme pour réviser donc vous serez rarement synchro et donc rarement libre de faire ce que vous voulez chez Vous.

Vivre en colocation peut vous amenez à vivre de nombreuses mésaventures, comme par exemple :

– rentrer tard le soir et se rendre compte que le coloc a laissé sa clé dans la serrure de l’autre côté, donc la votre ne tourne pas, et vu son taux d’alcoolémie impossible de la réveiller…

– nettoyer les cheveux et autres poils dans la douche ou bien encore vider la poubelle des toilettes pleine de serviettes hygiéniques ou voir de capotes usagées non emballées (plein d’autres petites choses qu’on accepte déjà « limite » pour la famille et le petit ami)

– assister de gré ou de force aux galipettes du coloc de l’autre côté d’une cloison mince comme du papier de riz

Il est donc très important dés le départ d’écrire sur papier des règles de vies à respecter scrupuleusement.

Le même type d’éducation que vous.

Si vous êtes du genre soigneux et respectueux du matériel et que vous vous installez avec une personne bordélique, sans notion d’argent vous risquez de créer de nombreux conflits.
Quand on se met en colocation soit on trouve quelqu’un comme nous où alors on oublie d’être un peu matérialiste.
Votre meuble blanc laqué ou encore vos casseroles anti-adhésives seront vite rayées.

La vie intime, lorsqu’on rencontre quelqu’un et que l’on est en colocation

Tant que vous êtes célibataire, votre intimité vous la mettez de côté. Mais voilà dans la vie, la plupart d’entre nous finissent pas faire des rencontres plus ou moins sérieuses et c’est là que ça se complique.
Se mettre en couple est surement une des premières raisons de l’arrêt de la colocation.

Imaginez les soirs où vous rentrez et que vous avez envie de cuisiner un plat à votre bien aimé et bien ça tombe pile poil le jour où votre colocataire à décider de faire un apéro avec 12 personnes dans la salle à manger.

Et ce fameux soir où vous avez envie d’une soirée de sexe torride, c’est le soir où votre coloc a décidé étrangement de se coucher à 21H.
Vous êtes bons pour le mode silencieux…ou l’abstinence.



Pour conclure

Vivre en colocation c’est un peu comme s’installer en couple à une nuance qu’on n’a pas le niveau de tolérance que l’on peut avoir avec l’être aimé.
Beaucoup déconseillent de se mettre en colocation avec des amis mais de recruter en fonction du profil de la personne.
Vivre en couple ce n’est pas vivre en colocation. Vivre à l’internat ce n’est pas vivre en colocation.
Vivre en colocation c’est un état d’esprit, une philosophie de vie.

  • blooky
    8 juillet 2010 at 19 h 44 min

    ben voyons…
    … c’est pour les pauvres ou les radins la coloc. Je vois pas d’intérêt autre que financier ou « bizarre » de se mettre en coloc. J’avais essayé de monter une coloc « haut de gamme », et quand j’ai vu les crève-la-faim (et que ce soit mec ou nana) qui m’ont contacté ça m’a refroidit direct !

    • zodofi
      22 juillet 2010 at 15 h 15 min

      la colloc pour les pauvres ou les radins ??? mais t’as vraiment rien compris… un synonyme de collocation pourrais être partage !!! alors effectivement abstient de monter de colloc ne serait ce que pour tes futurs colocataires !!

  • Bridget
    9 juillet 2010 at 10 h 11 min

    Radins! oui il doit y en avoir mais ce n’est pas la majorité.

    Beaucoup n’ont pas les moyens et garanties pour louer un appart dans les grandes villes et certains ne supportent pas de vivre seuls donc c’est un bon compromis 😉

  • milounette23
    13 juillet 2010 at 14 h 36 min

    Les creves la faim ? Sans commentaires y’en a qui comprennent decidement rien ! :0

  • Jolyne
    21 juin 2011 at 1 h 14 min

    La colocation, très bon plan pour les célibataires!! Une bonne occasion d’avoir de la compagnie et de voir du monde.
    Quand on se met d’accord sur les taches ménagères et le respect à avoir les uns envers les autres c’est un très bon remède contre la solitude et pour s’installer dans une grande ville qu’on ne connait pas, pour ne pas se sentir perdu..
    Maintenant, tout va bien.. tant qu’on ne se tape son coloc.. Alors là, ça sent le début de la fin! Croyez moi.

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